Lors de ces voyages m’apparaissaient des pièces de contes, de mots, visages et scènes empreintes. Lumières aussi, couleurs enivrantes, changeantes et hallucinées, comme essais sur l’enfer.
Ma présence corps, étranger, systémique. Je composais, maître d’orchestre du balai des fragments de cette apathique dystopie.
Un regard sur les géants de marbre, immobiles. Leurs âmes closes rêvant nos chemins.
Une attente aussi, entre parenthèses, celle de la dépendance encore.
Temps et Espace, réunis encore. Lien filial des Titans m’entravant, le temps d’un battement de cil, ou de 1000 vies d’hommes. Maintes fois je voyagerais ces ponts, semblables comme les eaux, vers le suivant état d’âme et de matière.